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Pendant l’été, un vent constant tire et retire sur ce cap une grande couverture de brume, trouée, d’une blancheur hypnotique. Elle s’étend et se partage à toute allure et par des déchirures on voit des cascades de prés d’un vert incomparable descendre en silence vers la mer.

— Chronique japonaise, p. 646, Collection Quarto, Éditions Gallimard, 2004